Shajara n’a pas été créé en un jour, elle est le résultat de longues années de questionnement. 

Dans un monde qui court vers les +1,5°, dont les limites planétaires sont franchies de plus en plus tôt chaque année. Dans ce monde où 60 % des vertébrés sauvages ont disparu en 40 ans à peine, comment arrêter le massacre ? 

Plus précisément : comment agir efficacement sans dépenser son temps, ou épuiser son énergie et son argent dans des actions vaines ou contre-productives ?

Alertés par les scientifiques chaque année sur l’urgence de la situation et la nécessité d’agir, nous ne voulons pas rester les bras croisés en attendant que nos politiques prennent enfin leurs responsabilités. Il fallait faire notre part et prendre nos propres responsabilités en tant qu’habitants de cette planète, en tant que consommateurs et êtres humains dépendant de la nature. 

 C’est ainsi que la projet Shajara naquit et au centre de ce projet:  les arbres.

Il apparut assez clairement que les arbres étaient nos meilleurs alliés, d’une efficacité incomparable pour atteindre l’objectif de restauration de la biodiversité que nous visons. 

Nous avons misé sur eux car ils sont la condition préalable à tout le reste. Les arbres ont de multiples effets bénéfiques, ils sont essentiels à la vie, et sont les piliers nécessaires à la restauration de toute la chaîne dû vivant.

La restauration de la biodiversité et sa protection sont nos objectifs premier, mais nous ne voulons  pas nous arrêter en si bon chemin, nous n’oublions pas les êtres humains dans l’équation. Il n’y aura pas de futurs viables pour nous si nous ne réinventons pas des systèmes économiques en collaboration avec la nature et respectueux de ses besoins et de ses limites.